Text: Sarah Perrin/EPFL
Photos: Sharif Mirshak, Parafilms/EPFL.
Text: Sarah Perrin/EPFL
Photos: Sharif Mirshak, Parafilms/EPFL.
Saturday, 10 pm: a powerful tugboat pulls the Akademik Trehsnikov out of the Punta Arenas port. The Russian vessel is off to sea for the third and final leg of the ACE expedition, headed for Cape Town with two stops and several sampling stations along the way. Our first, 3-day stop in South Georgia is expected on March 3rd. Located south of the Atlantic ocean, this British island is 170 km long. Mountainous and covered with glaciers, South Georgia is home to large populations of king penguins, fur seals and exotic birds.
ACE scientists will work here three days, gaining extra time due to a cancelled visit of the South Sandwich Islands. Permits to land by helicopter have unfortunately not been granted. Located south of the Atlantic ocean, this British island is 170 km long.
22h heures, samedi soir: c’est le départ. L’Akademik Treshnikov est lentement tracté hors du port. Le navire russe reprend la mer pour la troisième et dernière partie de l’expédition ACE. Au menu: plusieurs jours de navigation en pleine mer, agrémentés de quelques arrêts pour faire des prélèvements océaniques. Puis, le vendredi 3 mars, ce sera l’arrivée en Géorgie du Sud. Ce territoire britannique, situé au sud de l’océan Atlantique, consiste en une île de 170 kilomètres de longueur. Montagneuse, elle est recouverte de glaciers et d’une faune très riche.
Un premier changement de programme a été enregistré. L’autorisation d’atterrir en hélicoptère n’ayant pas pu être obtenue, il a fallu renoncer à la visite des îles Sandwich du Sud. En revanche, les scientifiques pourront passer plus de temps en Géorgie du Sud, où le bateau restera stationné trois jours.
On board, cruise participants spend their first hours connecting with new names and faces. Security measures and drills are plentiful, as newcomers explore the enigmatic decks and corridors of the Treshnikov, their new home until March 19.
A bord, les premières heures sont dévolues aux prises de contacts, à la mémorisation des prénoms et à l’énumération des consignes de sécurité. Il s’agit également d’apprendre rapidement à se repérer sur le navire, qui apparaît aux yeux du nouvel arrivant comme un véritable labyrinthe. Y chercher quelqu’un peut vite nous obliger à faire quelques kilomètres de couloirs et de volées d’escaliers.